Plusieurs signes cliniques peuvent vous orienter vers un diagnostic de déchirure ligamentaire, mais plusieurs autres choses peuvent également contribuer à l’évocation de ce diagnostic, comme par exemple le con.
En effet, il est très important d’analyser les circonstances du coup que vous avez pris, comment il est survenu mais également quel mouvement vous avez effectué au moment où vous avez eu cet accident.
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La douleur est le maître symptôme
Parmi tous les signes cliniques qui accompagnent une déchirure ligamentaire, la douleur est le symptôme qui domine le tableau clinique, mais il est faux de penser que c’est le seul signe clinique que l’on retrouve, en effet, lors d’une déchirure ligamentaire peuvent être présents :
- Une instabilité : ce qui signifie que le genou a tendance à être instable lors des mouvements en se plaçant dans des positions anormalement flexibles (ce qui signifie que les ligaments qui doivent le protéger de cette dangereuse flexibilité sont déchirés et n’assurent plus leur rôle).
- Le gonflement et l’oedème : vous remarquerez peut-être que votre genou a augmenté de volume, et une façon très intéressante de quantifier cette augmentation est de tout simplement comparer la taille de votre genou à celle de votre autre genou qui -lui- n’a jamais pris de coup.
